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    découvrez tout sur la schizophrénie, une maladie mentale complexe qui affecte la pensée, les émotions et le comportement. apprenez les symptômes, les causes possibles, les traitements et les ressources disponibles pour mieux comprendre et soutenir ceux qui en souffrent.
    Troubles mentaux

    Pourquoi et comment devient-on schizophrène ?

    MarinePar Marine15 mars 2025Mise à jour:10 mai 2025Aucun commentaire15 Minutes de Lecture

    La schizophrénie intrigue autant qu’elle inquiète. Ce trouble mental, souvent mal compris, soulève une question complexe : quelles sont les causes et mécanismes qui conduisent une personne à devenir schizophrène ? Loin d’être un phénomène isolé à une seule origine, la schizophrénie résulte d’un entrelacs subtil de facteurs génétiques, environnementaux et neurobiologiques. Elle se manifeste par une désorganisation profonde des perceptions, des émotions et de la pensée, affectant de manière significative la vie sociale et intime des individus. Pourtant, grâce aux avancées récentes en psychologie et psychiatrie, une prise en charge adaptée permet à nombre de patients d’espérer une vie épanouie. Dans ce contexte, il est essentiel de mieux comprendre le développement de cette maladie complexe, notamment en explorant les interactions entre nos gènes, notre cerveau et notre environnement, ainsi que les voies d’intervention thérapeutique actuelles.

    Les multiples causes de la schizophrénie : une origine complexe et multifactorielle

    La schizophrénie ne provient pas d’une cause unique identifiable. Elle apparaît comme un trouble résultant d’une combinaison complexe d’éléments biologiques, psychologiques et environnementaux. Cette multifactorialité rend sa compréhension difficile mais passionnante.

    Facteurs génétiques 🔬

    On sait que la vulnérabilité à la schizophrénie est partiellement héréditaire. Des études montrent que les membres d’une famille ayant un parent schizophrène présentent un risque dix fois plus élevé d’être eux-mêmes affectés. Toutefois, la transmission n’est pas déterministe : chez les vrais jumeaux, à peine la moitié des jumeaux partageant le même patrimoine génétique manifestent la maladie, ce qui illustre l’influence capitale d’autres facteurs.

    La génétique est une branche en pleine évolution, notamment avec des recherches qui approfondissent l’épigénétique, c’est-à-dire la manière dont certains gènes s’expriment ou s’éteignent selon l’environnement. Pour en savoir plus sur l’influence génétique sur le comportement, vous pouvez consulter cet article approfondi.

    Facteurs neurobiologiques et anatomiques 🧠

    Des anomalies cérébrales sont fréquemment observées chez les personnes atteintes de schizophrénie. Celles-ci peuvent affecter les lobes cérébraux, certains espaces cérébraux liquidiens ainsi que la morphologie des neurones. Ces altérations pourraient résulter d’expositions prénatales, telles qu’une infection maternelle pendant la grossesse, ou encore d’incidents à la naissance impliquant un déficit d’oxygène. Ces atteintes cérébrales précoces donneraient un terrain favorable à la maladie.

    Une étude récente menée à l’université de Californie du Sud sur la protéine SAP97 met en lumière son rôle crucial dans la gestion de la mémoire via la régulation des signaux glutaminergiques. La déficience de cette protéine semble augmenter considérablement le risque de schizophrénie, soulignant l’importance des circuits neuronaux dans le développement du trouble.

    Facteurs environnementaux 🌍

    L’environnement familial joue un rôle non négligeable, notamment lorsqu’il s’agit d’un enfant présentant une vulnérabilité biologique. Un contexte marqué par une carence affective, une surprotection excessive ou encore un climat familial instable pourrait influencer le déclenchement ultérieur des symptômes.

    De plus, l’adolescence constitue une période critique. Le jeune doit acquérir de nouvelles compétences sociales, gérer sa sexualité naissante et faire face au regard des pairs. Ces enjeux peuvent révéler ou amplifier les dysfonctionnements cérébraux préexistants, rendant visible ce qui était jusque-là latent.

    Enfin, plusieurs facteurs additionnels sont à prendre en compte dans les risques, notamment :

    • La consommation de substances psychotropes, particulièrement le cannabis chez les adolescents 😨
    • L’exposition à certains virus durant la grossesse 🤰
    • Un environnement social marqué par le stress important ou des changements brutaux.

    Cette dernière liste illustre combien il est essentiel d’observer la schizophrénie à travers une perspective intégrative où chaque facteur vient compléter un tableau global.

    Facteurs clés ⚠️ Description Exemples concrets
    Génétiques Prédisposition héréditaire Membre de famille atteint, jumeaux monozygotes
    Neurobiologiques Anomalies cérébrales, neurotransmission Altération du gyrus dentelé et protéine SAP97
    Environnementaux Stress, infections prénatales, contexte familial Consommation cannabis à l’adolescence, naissance compliquée

    Comprendre la schizophrénie : symptômes et manifestations qui orientent le diagnostic

    Comprendre comment se manifeste la schizophrénie est fondamental pour pouvoir agir rapidement et efficacement. Ce trouble de la pensée et des émotions présente une grande variabilité symptomatique, ce qui peut compliquer la reconnaissance et le diagnostic.

    Symptômes positifs : hallucinations et délires 🎭

    Les symptômes dits « positifs » désignent des manifestations qui viennent s’ajouter au comportement normal. Ils regroupent :

    • Hallucinations auditives : entendre des voix qui ne sont pas là est l’un des symptômes les plus typiques.
    • Idées délirantes : croyances fausses, souvent paranoïaques, où le patient se sent persécuté ou au centre d’un complot.
    • Distorsion de la réalité : troubles perceptifs visuels ou tactiles altérant la compréhension de ce qui est réel.

    Symptômes négatifs : retrait et rétrécissement émotionnel 🛑

    Les symptômes négatifs désignent des pertes ou des diminutions de comportements normaux :

    • Retrait social et isolement progressif.
    • Manque d’énergie et de motivation, appelé apragmatisme.
    • Réduction des expressions émotionnelles qui peut se confondre avec un état dépressif ou apathique.

    Notons que ces symptômes peuvent facilement être confondus avec certains troubles comme la névrose ou la dépression, d’où l’importance de disposer d’une expertise clinique fine. Pour mieux différencier ces troubles, vous pouvez parcourir le texte dédié à la différence entre névrose et psychose.

    Différentes formes cliniques 🔍

    La schizophrénie peut se présenter sous plusieurs formes :

    • La schizophrénie paranoïde caractérisée par des délires complexes et des hallucinations.
    • La schizophrénie hébéphrénique où dominent principalement les symptômes négatifs, accompagnés d’un désintérêt marqué pour la vie quotidienne.
    • La schizophrénie dite simple ou « psychose blanche », marquée par un appauvrissement progressif des capacités émotionnelles et cognitives.
    • La schizo-affective, combinant symptômes schizophréniques et troubles de l’humeur, ce qui complexifie la prise en charge.
    • La schizophrénie catatonique, qui implique des troubles moteur graves, comme l’immobilité prolongée.

    Chaque forme a des manifestations spécifiques impactant le pronostic et le traitement.

    Type de schizophrénie 🧩 Symptômes dominants Particularités
    Paranoïde Hallucinations, délire paranoïaque Idées de persécution fréquentes
    Hébéphrénique Syndrome négatif, désorganisation Repli social et apathie
    Simple Troubles cognitifs, froideur émotionnelle Psychose blanche, anxiété
    Schizo-affective Symptômes schizophréniques + humeur Alternance dépression / délire
    Catatonique Mutisme, immobilité Syndrome psychomoteur

    La variabilité symptomatique démontre que la schizophrénie est plus un trouble de l’intégration cognitive, affective et perceptive qu’une maladie monoforme. Cette approche nécessite des nuances dans le traitement et la réhabilitation.

    Âge d’apparition et évolution typique de la schizophrénie chez les patients

    La schizophrénie débute généralement à la fin de l’adolescence ou au début de l’âge adulte, une période charnière entre l’enfance et la vie adulte. Les premiers signes apparaissent souvent entre 15 et 30 ans, quoiqu’ils puissent se montrer plus précocement ou plus tardivement dans certains cas.

    L’adolescence représente une étape sensible en raison des transformations neurobiologiques importantes et des évolutions sociales qui imposent à l’individu de nombreuses adaptations. Ces changements peuvent mettre en lumière des fragilités jusque-là dissimulées.

    L’évolution peut suivre plusieurs trajectoires :

    • Phase prodromique : signes précoces et souvent subtils comme des troubles de la concentration, un retrait social ou des pensées confuses.
    • Phase active ou aiguë : les symptômes psychotiques sont clairement installés, justifiant parfois une hospitalisation en cas de danger.
    • Phase résiduelle : atténuation des symptômes positifs au profit des symptômes négatifs.
    • Phase de rétablissement : amélioration globale avec possibilité d’insertion sociale.
    • Phase de rechute : aggravation du trouble, souvent liée à un arrêt du traitement ou à un stress majeur.

    Il existe également des cas où la maladie évolue de manière moins sévère et où un traitement précoce permet une rémission partielle voire complète, notamment dans les deux premières années suivant l’apparition des symptômes. La prévention de la rechute repose sur une thérapeutique adaptée et constante, visant à maintenir un équilibre sur le long terme.

    Étape de la maladie ⏳ Caractéristiques principales Conséquences sur la vie quotidienne
    Prodromique Altération cognitive, retrait progressif Isolation, isolement
    Active Hallucinations, délires Perte du contact avec la réalité
    Résiduelle Signe négatifs marqués, apathie Difficulté à fonctionner socialement
    Rétablissement Symptômes atténués Réinsertion possible
    Rechute Recrudescence des symptômes Dégradation progressive

    Diagnostiquer la schizophrénie : méthodes cliniques et outils d’évaluation

    Le diagnostic de la schizophrénie repose principalement sur un examen clinique approfondi. Il s’agit d’un travail minutieux visant à repérer un ensemble de signes symptomatiques persistants et impactant la vie fonctionnelle du patient.

    Lors de l’évaluation, plusieurs dimensions sont explorées :

    • La personnalité préexistante et le comportement habituel.
    • Les capacités cognitives telles que la mémoire, l’attention et la concentration – des fonctions souvent réduites.
    • Les perceptions sensorielles anormales et les phénomènes hallucinatoires ressentis.
    • Les perturbations affectives et les troubles de l’humeur associés.

    Une batterie de tests psychologiques peut être employée :

    • Tests de personnalité pour saisir les traits psychiatriques sous-jacents.
    • Tests de comportement pour observer les réactions dans diverses situations.
    • Tests cognitifs visant à évaluer la mémoire, la logique et la communication.

    Par ailleurs, certains examens complémentaires, tels qu’un électroencéphalogramme, contribuent à écarter d’éventuelles maladies neurologiques.

    Un test innovant est celui du « regard », qui mesure la capacité à suivre du regard un objet en mouvement, afin de détecter d’éventuels mouvements oculaires anormaux et mieux comprendre la dimension cognitive.

    Outils diagnostiques 🧪 Objectif Utilisation clinique
    Examen clinique Observation des symptômes Diagnostic primaire
    Tests psychologiques Évaluation cognitive et comportementale Données complémentaires
    Electroencéphalogramme Exclure troubles neurologiques Soutien du diagnostic
    Test du regard Mesurer anomalies oculaires Indicateur potentiel

    Principes thérapeutiques : comment prendre en charge la schizophrénie aujourd’hui ?

    La schizophrénie nécessite une approche globale et multidisciplinaire. La prise en charge comprend des traitements médicamenteux, une psychothérapie adaptée ainsi qu’un accompagnement social et éducatif.

    Traitement médicamenteux 💊

    Les neuroleptiques ou antipsychotiques constituent la base du traitement médicamenteux. Ces médicaments agissent en modulant l’activité cérébrale, notamment sur les circuits dopaminergiques et glutamatergiques, afin de réduire les hallucinations et délire. Leur efficacité tient aussi aux nouvelles générations, développées par des laboratoires tels que Sanofi, Pfizer, ou Novartis, qui offrent un meilleur profil en termes d’effets secondaires.

    Le respect de la prise thérapeutique est essentiel. Une interruption sans suivi peut entraîner des rechutes graves. C’est pourquoi l’information du patient et de son entourage est une priorité.

    Interventions psychothérapeutiques 🗣️

    La psychothérapie joue un rôle clé dans la gestion émotionnelle et sociale du trouble. Parmi les approches, la remédiation cognitive améliore les fonctions mentales déficitaires par des exercices ciblés. Par ailleurs, la thérapie comportementale aide à mieux gérer les symptômes psychotiques au quotidien.

    Il est également important de verbaliser les émotions et de comprendre les effets du traitement pour réduire l’angoisse et prévenir les rechutes. Cette alliance thérapeutique renforce l’autonomie et la qualité de vie.

    Accompagnement psycho-social 🌐

    L’insertion sociale et professionnelle est une étape cruciale. Favoriser un emploi adapté, par exemple via des horaires aménagés ou du temps partiel – une démarche soutenue par des entreprises comme Lundbeck ou Johnson & Johnson dans le secteur de la santé mentale – facilite l’autonomie.

    Pour réduire la stigmatisation, un rôle important revient aux médiateurs pairs et aux programmes éducatifs familiaux. Cela renforce le réseau d’aide autour du patient et prévient la rechute.

    Voici une synthèse des axes thérapeutiques :

    • Usage régulier et encadré des neuroleptiques.
    • Psychothérapie centrée sur la gestion des symptômes et la remédiation cognitive.
    • Soutien social et réinsertion professionnelle.
    • Éducation psychoéducative des familles.
    • Prévention des facteurs de risque comme la consommation de substances.
    Modalités de traitement 🛠️ Objectifs Acteurs principaux
    Pharmacologie Réduire symptômes positifs Médecins, laboratoires Sanofi, Pfizer
    Psychothérapie Support émotionnel et cognitif Psychologues, thérapeutes
    Accompagnement social Insertion et autonomie Médiateurs, assistantes sociales

    Schizophrénie et travail : concilier santé mentale et vie professionnelle

    Le travail est un levier fondamental pour le rétablissement et le maintien de l’équilibre psychique. Il procure un cadre, un sentiment utile et favorise les interactions sociales. Cependant, les personnes schizophrènes rencontrent souvent des difficultés pour s’insérer ou maintenir un emploi, notamment à cause des symptômes résiduels et des attentes du monde du travail traditionnel.

    Il est donc nécessaire de mettre en place des mesures d’accompagnement adaptées :

    • 🌟 Horaires flexibles afin de permettre une meilleure gestion des symptômes et de la fatigue.
    • 🌟 Temps partiel pour réduire le stress et améliorer la concentration.
    • 🌟 Reconnaissance des compétences au-delà des jugements liés au trouble.
    • 🌟 Soutien psychologique en entreprise pour prévenir les risques de rechute.

    L’acquisition de ces conditions favorables est souvent le fruit d’un dialogue entre patients, employeurs, familles et professionnels de santé. Ce partenariat est appuyé par de grandes organisations de santé mentale ainsi que par les laboratoires pharmaceutiques tels que Roche, AstraZeneca ou Boehringer Ingelheim qui investissent dans la recherche pour améliorer les traitements et la qualité de vie des patients au travail.

    Aménagements professionnels 🏢 Impacts positifs Exemples d’entreprises
    Horaires modulables Diminution stress, meilleure gestion de l’énergie Roche, Johnson & Johnson
    Temps partiel Moins d’épuisement mental AstraZeneca, Lundbeck
    Soutien psychologique en entreprise Détection précoce des symptômes, maintien emploi Sanofi, Servier
    Reconnaissance Développement confiance en soi Novartis, Pfizer

    Prévenir la schizophrénie : stratégies actuelles et importance de l’intervention précoce

    La prévention de la schizophrénie repose avant tout sur la détection et le traitement précoce des signes avant-coureurs. Agir rapidement peut changer fondamentalement le cours de la maladie, limitant les conséquences invalidantes.

    Les signes prodromiques peuvent inclure :

    • Une augmentation de l’anxiété et une sensibilité au stress.
    • Une perte d’intérêt sociale ou d’activité.
    • Des troubles du sommeil et des pensées confuses.

    Des programmes de psychoéducation, tant pour les patients que leurs familles, sont essentiels afin de renforcer le soutien et d’accompagner les changements nécessaires dans la vie quotidienne (voir la place de la psychoéducation dans la gestion des troubles mentaux).

    La diminution des facteurs de risque, comme l’usage de substances psychotropes, est un autre levier de prévention important. En parallèle, un suivi médical régulier permet d’adapter efficacement le traitement.

    Enfin, les campagnes de sensibilisation contribuent à réduire la stigmatisation, support indispensable pour l’inclusion sociale des personnes concernées.

    Axes de prévention 🎯 Actions concrètes Bénéfices
    Détection précoce Repérage signes prodromiques Intervention rapide
    Psychoéducation Formation patients et familles Meilleur suivi thérapeutique
    Réduction risques Lutte contre drogue et alcool Moins de rechutes
    Sensibilisation Camps de communication et inclusion Réduction stigmatisation

    Soutien familial et social : comment agir face à un proche schizophrène ?

    Les proches jouent un rôle crucial dans la vie des personnes atteintes de schizophrénie. L’entourage peut soutenir le patient tant dans la prise en charge thérapeutique que dans son intégration sociale.

    Il est important d’adopter certaines attitudes :

    • 🌼 Patience et écoute active pour accompagner sans jugement.
    • 🌼 Gardez votre calme lors des crises pour ne pas aggraver les tensions.
    • 🌼 Stimuler l’autonomie tout en veillant à la sécurité du patient.
    • 🌼 Participer aux programmes de soutien familial, comme les formations psychoéducatives, pour mieux comprendre la maladie.

    La gestion de situations de crise demande une approche bienveillante et respectueuse. Par exemple, on évitera toute confrontation directe ou trop d’intrusion dans l’espace personnel du patient. Il peut aussi être utile qu’une seule personne dialogue avec lui à la fois, de manière claire et concise.

    Ces comportements contribuent à instaurer un climat apaisé et favorisent la continuité de la prise en charge. Dans ce cadre, visualiser des ressources disponibles comme sur l’aide professionnelle en psychologie est essentiel.

    Rôle des proches 🤝 Actions recommandées Effets attendus
    Support émotionnel Écoute sans jugement Renforcement confiance
    Gestion de crise Conservation du calme Sécurité assurée
    Accompagnement thérapeutique Participation psy psychoéducative Meilleure adhésion au traitement
    Favorisation de l’autonomie Encouragement progressif Réinsertion sociale facilitée

    La schizophrénie dans la recherche contemporaine : avancées prometteuses et perspectives

    La recherche en santé mentale ne cesse de progresser dans la compréhension et le traitement de la schizophrénie. En 2025, diverses équipes scientifiques explorent des pistes innovantes tant sur le plan neurobiologique que psychothérapeutique.

    Par exemple, la découverte du rôle de la protéine SAP97 dans la régulation des synapses ouvre une voie vers des interventions ciblées sur les fonctions cognitives. Par ailleurs, les travaux sur les patterns neuronaux et la neuroimagerie permettent de mieux cartographier les anomalies cérébrales spécifiques.

    De nouvelles approches psychothérapeutiques intégrant la réalité virtuelle et les outils numériques émergent également, favorisant une remédiation cognitive plus ludique et accessible.

    En parallèle, des laboratoires comme Otsuka ou Servier s’engagent dans le développement d’antipsychotiques à moindre effets secondaires, témoignant d’un transfert prometteur des recherches vers la pratique clinique.

    Enfin, un intérêt croissant se porte sur les comorbidités fréquentes, telles que les troubles du sommeil pouvant aggraver les symptômes. Une étude récente met en lumière l’impact majeur de l’insomnie sur l’intensité des pensées suicidaires (détails sur les troubles du sommeil et leurs effets).

    Recherches innovantes 🔬 Domaines explorés Retombées potentielles
    Biologie moléculaire Protéine SAP97, synapses Thérapies ciblées
    Neuroimagerie Cartographie cérébrale Diagnostic amélioré
    Technologies numériques Réalité virtuelle, applications cognitives Remédiation ludique
    Pharmacologie avancée Antipsychotiques de dernière génération Réduction effets secondaires

    Cette dynamique offre un nouvel espoir pour les patients et leurs familles, mettant l’humain au centre d’une approche de plus en plus personnalisée et respectueuse.

    FAQ sur la schizophrénie : réponses aux questions courantes

    • Q : La schizophrénie est-elle héréditaire ?
      R : Oui, il existe une prédisposition génétique qui augmente le risque, mais elle n’est jamais exclusive : l’environnement joue aussi un rôle important.
    • Q : Peut-on vivre une vie normale avec la schizophrénie ?
      R : Avec un traitement adapté et un suivi régulier, un tiers des patients mènent une vie proche de la normale et peuvent travailler.
    • Q : La schizophrénie est-elle contagieuse ?
      R : Non, il s’agit d’un trouble mental qui ne se transmet pas d’une personne à une autre.
    • Q : Quels sont les premiers signes à surveiller ?
      R : Isolement, perturbations du sommeil, pensées étranges ou discours confus peuvent annoncer la maladie.
    • Q : Quand consulter un professionnel ?
      R : Dès l’apparition des symptômes persistants ou lors d’une crise, il est essentiel de consulter un psychiatre ou un psychologue pour un diagnostic et une prise en charge rapide.
    Table des matières afficher
    1 Les multiples causes de la schizophrénie : une origine complexe et multifactorielle
    2 Comprendre la schizophrénie : symptômes et manifestations qui orientent le diagnostic
    3 Âge d’apparition et évolution typique de la schizophrénie chez les patients
    4 Diagnostiquer la schizophrénie : méthodes cliniques et outils d’évaluation
    5 Principes thérapeutiques : comment prendre en charge la schizophrénie aujourd’hui ?
    6 Schizophrénie et travail : concilier santé mentale et vie professionnelle
    7 Prévenir la schizophrénie : stratégies actuelles et importance de l’intervention précoce
    8 Soutien familial et social : comment agir face à un proche schizophrène ?
    9 La schizophrénie dans la recherche contemporaine : avancées prometteuses et perspectives
    10 FAQ sur la schizophrénie : réponses aux questions courantes

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